Un immense noyer, un modeste néflier du japon, quelques palmiers, de majestueux lauriers roses, quelques rosiers naissants, et...........des TOURTERELLES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Un immense noyer, un modeste néflier du japon, quelques palmiers, de majestueux lauriers roses, quelques rosiers naissants, et...........des TOURTERELLES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Petit Renard a dit:
«Mais quand on sera mort, que va-t-il se passer?
M’aimeras-tu toujours, est-ce que l’amour ça reste?
Son papa l’a bercé contre lui, tandis qu’ils regardaient la nuit, la lune dans l’obscurité, les étoiles qui brillaient.
«Regarde Petit Renard les étoiles comme elles scintillent et étincellent, certaines sont mortes depuis longtemps, mais elles continuent à briller dans le ciel du soir, car vois tu, Petit Renard, L’amour comme les étoiles ne meurt jamais.
Il s’accroupit et il traça toutes les planètes qu’il connaissait.
Il s’accroupit et il traça toutes les planètes qu’il connaissait.
Il aperçu une étoile filante dont il dessina l’arc.
Dans les ténèbres où il vivait il vit ainsi toutes les autres étoiles qui brillaient et scintillaient et il leur vola en secret un petit éclat de lumière qu’il serra dans son cœur.
Le ressac des jours passant
Fait disparaître les cicatrices,
Comme une mer invisible
Gomme un dessin sur le sable.
Échoué sur la plage
Il lit le livre de sa vie
Tatoué à l’envers de sa peau
Les vagues tournent les pages,
La tempête a cessé.
Tourne toi et va
Tu es impuissant à effacer les souvenirs
Ne te bat pas contre eux, ils gagneront.
Ne lutte pas avec eux ils s’imposeront.
Alors fais de ton dos les voiles du destin,
Du vent une énergie nouvelle,
Pour aller vers un ailleurs paisible.
Le ressac des jours passant
Fera disparaître d’autres cicatrices
Gravées à l’envers de ta peau.
Tu échoueras sur d’autres plages
Et tu liras le livre de ta vie…
…et les vagues tourneront les pages.
En ce monde impudique, la beauté n'est qu’un leurre.
A vous voir empalé sur l‘épine de rose, tel papillon aux ailes froissées, je vous reconnais, proie désormais vouée à l’appétit gourmand. Vous êtes belle je l’admets de celle qu’on aimerait toucher, effleurer du regard les yeux baissés.
En ce monde qui n’est le votre, vous aurez peut-être mieux été dans un ailleurs à jamais oublié. Vous viviez le bonheur, il était à vos pieds. Était ce bonheur que s’y cacher. Du papillon à l’épine de rose naît le bouton dont le parfum exhalé enivrera le monde d’un charme inégalé.
Il butine vous pensiez, mais je ne suis ni rose ni fée, il ne m’aura point ma corolle est d’acier et le bourdon lourdaud n’a qu’à s’y frotter. Le pataud du dard s’est défait, il se mit même à chanter. Il n’était beau sans être laid mais se cru mieux qu’il n’était. Allons Madame un peu de bonté et oubliez mes traits, je ne suis là vous le savez que pour un temps m’enivrer.
En ce monde insensé, allons Madame s’il vous plait, dîtes moi que votre esprit est sorcier, que vos atours sont surfaits, que vous êtes d’un ailleurs d’où je ne peux m’exiler. Dites moi Madame que vous n’avez jamais existé.
Seize jours durant mon corps a transpiré à l’unisson d’un monde végétal, minéral et humain.
Seize jours durant j’ai vécu mille ans.
Mes pas souffraient des efforts accomplis. Le passé s’impose pour construire l’avenir. Dans cet univers sans âge je balade mes sentiments au gré des caprices du temps. Le décor patiné par des siècles de patience s’accommode des créations humaines afin qu’aucune injure ne soit faite à l’originelle vocation de la terre: garder ses vertus célestes.
Je pars ce matin d’avril 1988 découvrir la terre, m’offrir la vision intime d’une France que je ne connais pas, sans brutalité, sans artifice. L’acte d’amour a besoin de patience. Comme un enfant qui s’ouvre au monde, je m’abandonne aux règles simples du pèlerin qui arpente le chemin en robe de bure et sandale de cuir.
Mais le temps n’est plus au dépouillement du corps, à la piété gratuite, aux paraboles toutes faites. J’ai revêtu le survêtement de mes entraînements quotidiens, chaussé les «training» résultat d’une technologie haut de gamme.
J’entame 960 kilomètres d’histoire, d’anecdotes, d’images et de bruits, 960 kilomètres tracés par des milliers de vie.
Mes foulées annoncent le début d’un beau rêve.
Il était une fois…
par henzzo
Moi ton père à toi ma fille,
Comment te dire...
Passe le temps,
Je t'ai vu grandir, tu m'as surpris à vieillir.
La jolie tête blonde
A usé du bleu de ses yeux
Pour découvrir un papa
Qui s'essayait à être père.
Douce et généreuse,
Le bruit de tes silences
A entamé mes certitudes
Tant nos vies étaient liées
Partageant mes folles équipées.
Et passe le temps...
Tu m'as vu partir
J'avais oublié de te prévenir
Je suis un peu distrait,
Tu sais de qui tenir.
Et passe le temps...
On s'est parlé sans rien se dire.
Je t'ai ouvert mon livre
Pour te confier des secrets
Que tu m'avais volé avant de les lire
Et passe le temps...
Pour tes enfants suis devenu père grand
Pour tes petits, toi la meilleure des mamans
Qui doute à chaque instant.
Doute ma fille, doute encoure et toujours,
Les seuls qui ont tout gagné
Ne reviendront jamais
Pour dire qu'ils se sont trompés.
Et passe le temps...
Je passe ma vie à chercher
Ce que j'ai oublié
Car je suis un peu distrait
Mais çà tu le sais.
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